La PASTORALE de la SANTE
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Mise à jour 1 juil. 2019
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Prendre soin (En savoir plus >>)
Prendre soin de personnes malades, blessées par la vie, portant un handicap, âgées, isolées… quelque soit son état de santé, sa culture, sa religion…
Telle est la proposition de la paroisse dans le cadre de sa Pastorale de la Santé.

Dans la paroisse :
  Le SEM - Service Évangélique des Malades - (En savoir plus >>)       se porte à la rencontre de ceux qui sont à domicile, ou en maison de retraite
       (Le Clos de l'Oseraie),
L' AUMÔNERIE HOSPITALIÈRE (En savoir plus >>)      visite à la clinique Sainte Marie.

Notre communauté manque cruellement de visiteurs,
chaque équipe ne compte actuellement que trois ou quatre membres,
c'est cruellement peu en proportion des besoins des personnes souffrantes.
"N'ayez pas peur", renseignez-vous, rejoignez ces équipes…

SEM
Contactez l'Accueil au 01 30 30 15 35

AUMÔNERIE HOSPITALIÈRE
Contactez l'Accueil au 01 30 30 15 35
            ou bien : pastorale.sante@catholique95.fr
                          tél. 01 30 38 35 40

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EN SAVOIR PLUS...

LA PASTORALE DE LA SANTE DIOCESAINE
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santé publique / bioéthique
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AUMÖNERIE HOSPITALIÈRE à Osny

       C'est la rentrée, toutes les activités de notre paroisse reprennent or nous avons sur notre territoire la clinique Sainte Marie où dans le cadre d'une mission diocésaine une toute petite équipe d'aumônerie rend visite aux personnes hospitalisées.
Je dis une toute petite équipe car nous ne sommes que trois.

Nous visitons les malades une fois par semaine sur les deux étages de la clinique dans les services de médecine et de chirurgie.
Nous répondons également à la demande de quelques personnes en leur portant la Sainte Communion.
Nous sommes un intermédiaire entre le malade ou sa famille et le prêtre de la paroisse.

Il est évident que notre équipe doit être renforcée pour maintenir la pérennité de cette mission d'Église.

Nous espérons vivement toutes les trois que notre appel soit entendu et vous invitons, si vous êtes tentés par l'expérience, à contacter le Père Juvénal ou nous-mêmes pour plus d'informations.

Pour terminer je voudrai vous dire combien cet engagement nous apporte :
nous avons chacune connu de très beaux et forts moments de partage de la foi aussi bien avec des chrétiens qu'avec des musulmans.
Certains malades rayonnent de courage et d'espérance en Dieu ils sont des leçons de vie et en un sens sont pour nous un chemin vers Notre Seigneur.

 

L'Equipe d'aumônerie,         
septembre 2010                  

Contactez l'Accueil de la paroisse au 01 30 30 15 35
                     ou bien téléphonez au 06 78 20 07 69
  

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Service Évangélique des Malades (SEM)

Dans la paroisse le Service Évangélique des Malades intervient auprès de personnes seules, malades ou âgées...
     à domicile,
     à la maison de retraite (le Clos de l'Oseraie).
     à la résidense séniors ''la Girandière''

Chacun de nous est appelé à ouvrir son coeur, son regard et ses oreilles
pour aller à la rencontre et l'écoute de l'autre.

L'Équipe de la paroisse, indispensable pour l'annonce de Jésus Christ -
à travers les besoins Humains, Spirituels et Religieux de toute personne,
a besoin de vous aujourd'hui pour s'étoffer.

L'Equipe d'aumônerie,          
septembre 2010                    
                  

Contactez l'Accueil de la paroisse au 01 30 30 15 35

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PRENDRE SOIN

C’est répondre aux appels de ceux qui souffrent.

Ces appels sont reçus aussi par des personnes vulnérables.

Prendre soin consiste alors à unir des fragilités dans un système de santé dont le souci de la dignité des personnes doit être premier.

Sur ce chemin de compassion, le Christ nous a ouvert la route.


Le soin spirituel et la dignité du malade.

Avoir souci de lui, l’écouter, avoir une qualité de présence, avoir le souci de sa spiritualité.
Cheminer avec la personne malade ; ne pas le devancer ; être là, marcher à côté.
Respecter ses souhaits, ses rites ; c’est le malade qui choisit à qui il s’ouvre ou non.
Valoriser son corps, à travers le regard, le toucher. La tendresse n’a pas de prix…

Prendre soin de l’homme dans le système de santé aujourd’hui.

La maladie fait entrer dans un chemin de dépendance : on s’occupe plus du malade qu’on ne l’écoute. La tarification à l’acte peut conduire à des procédures standardisées.
Le « prendre soin » conduit à reconnaître le patient comme sujet de sa propre histoire et des décisions le concernant.
Prendre soin, c’est d’abord une certaine manière de soigner, une attention à la personne ; c’est associer tous ceux qui participent aux soins, même les bénévoles, lesquels exercent un « véritable ministère de la présence » auprès des malades auxquels le Christ s’identifie.

Respecter ce qu’il nous reste de vie

Ou le cri d’une personne dont on ne prend pas soin
« Ce ne sont pas mes souvenirs qui m’aident à tenir le coup, mais les prières apprises dans mon enfance. Je suis prête à mourir, mais j’ai encore soif de vie, de cette autre vie, de cette sérénité, de cette paix qui vient du fond de moi, lorsque, simplement, je récite le « Notre Père »…Je sais que Dieu m’aime et que je compte pour lui… »

Prendre soin des familles des malades

Qu’as-tu fait de ton frère ?
Prendre soin d’un membre de la famille réclame de prendre soin de tous les membres de la famille.
Ils ont besoin de se raconter, de se rencontrer, de partager peurs et angoisses mais aussi courage et détermination aimante. Besoin de présence, de respect, d’écoute, d’intériorisation…
« Nous sommes le corps du Christ »…
« Que serai-je sans toi qui vins à ma rencontre ? » (J. Ferrat)

Prendre soin jusqu’au bout

Les soins palliatifs pour attester de la dignité de l’humain
Importance de la présence de l’autre parce qu’il est mon semblable. Créé « à l’image de Dieu », il est quelqu’un appelé, par grâce, à une alliance avec le Créateur auquel nul autre que lui ne peut donner sa place.
Etre au service d’une personne en situation de fin de vie, dans une optique de qualité de vie restant au service de la vie.
Etre dans la rencontre d’un être unique parce qu’aimé de Dieu.
Reconnaître en lui la présence divine qui transfigure.

La souffrance des soignants

On ne côtoie pas la souffrance, la maladie et la mort d’autrui, à longueur de carrière, sans que cela produise des effets (« burn out » des soignants).
Un soignant « doit savoir » se contenir et ne pas montrer son émotion…
La douleur des personnes malades est une source de stress important et l’impuissance à soigner peut mettre le soignant dans une situation de culpabilité, tandis que le malade prête au soignant la toute puissance.
Devant la mort, le soignant se trouve dans une situation inacceptable, c’est l’arrêt de la relation.
Le soignant doit prendre soin de lui…

Il prit soin de lui

Voir la parabole du bon Samaritain (Luc X, 29-37) :
C’est un bénévole, de bonne volonté, il se laisse interrompre, de façon provisoire, pour prendre en compte une personne en situation de détresse.
Il prit soin de lui. Il fut mis en mouvement par la miséricorde.
Prendre soin, c’est se laisser dérouter.
Il n’instaure pas une relation de dépendance ; son objectif est de redonner la vie.

Comment Jésus prend- Il soin de nous ?

Jésus nous signifie que Dieu ne prend pas soin de nous à distance ni par délégation. Il nous envoie ce qu’Il a de plus précieux, de plus proche, de plus intime, en nous envoyant son propre Fils.
Jésus prend soin de nous en partageant notre humanité ordinaire. Il se montre sensible à la faim, à la fatigue, à la maladie. Il est proche, disponible à tous. L’amour se moque des convenances.
Jésus est compatissant. Il est « pris aux entrailles » devant toute personne souffrante.
Tout ce qui fait souffrir l’homme est insupportable à Dieu. Tout se qui ampute ou gâche la vie de l’homme est insupportable à Dieu. « Il n’est pas un Dieu des morts, mais des vivants ; tous en effet vivent pour Lui » (Luc XX, 38).

Mais l’amour ne s’impose pas ; l’amour recherche le consentement. C’est pourquoi, Jésus prend soin de restaurer d’abord les personnes dans leur dignité de sujet. Il invite le malade à exprimer son désir, et c’est le Fils de Dieu qui se met à son service ! C’est le cadeau royal de l’amour divin, le don surabondant de sa puissance de vie.
Que l’Esprit-Saint fasse de nous de vrais disciples de Jésus afin qu’advienne un monde où « Dieu essuiera toute larme de nos yeux ».

(Extraits du livret du Nord, Dimanche santé 2009)     

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